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![[CD] BORN FROM PAIN [2008] SURVIVAL BornFromPain_Survival](https://2img.net/h/thumbs.filmstarts.de/wallpaper/BornFromPain_Survival.jpg)
Si vous chercher un pendant européen aux américains de Hatebreed et Throwdown, essayez donc BORN FROM PAIN. Nos amis hollandais sont présents sur la scène Hardcore depuis 1997 et SURVIVAL sorti en 2008 est leur 5ème album.
2 ans après la sortie de WAR qui m'avait foutu une véritable baffe (ma nuque s'en souvient encore) nous voici présenté SURVIVAL avec quelques changements importants au programme. En effet, CHE le chanteur originel quitte le groupe, s'en suit quelques changements de chanteurs afin de trouver celui qui conviendrait le mieux. Finalement, les hollandais optent pour leur bassiste qui sera dorénavant le hurleur de service, celui-ci étant remplacer à la basse. Au programme des changements évoqués plus haut, l'augmentation de lignes mélodiques dans le jeu des guitares.
Attention, je vous vois venir avec vos idées façon : Ils lâchent ce qu'ils faisaient pour surfer sur une vague METALCORE. Et bien absolument pas !! BORN FROM PAIN est toujours aussi HARDCORE que cela soit dans les lignes de chant, les thèmes abordés tout au long de l'album. Le METAL a toujours une place aussi importante et l'influence THRASH de SLAYER est toujours omniprésente.
Ces changements, même s'il n'y a pas une prise de risque énorme qui pourrait rebuter de nombreux fans, a le mérite d'apporter quelque chose de différent. Il faut bien avouer que les albums catalogués HARDCORE ne sont en général pas débordant de créativité telle que peuvent le proposer des groupes plus progressifs. Au lieu d'avoir un album qui pourrait donner une impression de répétition tout au long des 11 titres, les samples disséminés ainsi que cette légère augmentation des solos et parties lead donnent un rendu très homogène et non rébarbatif.
Cela commence avec le premier titre Sounds of Survival qui rappelle à tous quel est le style adopté par les hollandais, l’intro de presque 2 minutes (pour une chanson de 4 min) prépare le terrain et l’enregistrement d’une rue piétonne pleine de vie avant une explosion nucléaire est une très belle métaphore à ce qui va suivre. Les 2 minutes restantes pouvant être considérées comme le souffle de l’explosion, riffs incisifs, rythmiques en béton armé, autant vous dire que l’idée d’avoir un premier titre comme celui là lors de l’ouverture d’un concert me provoque un sourire béat.
L’album est coupé en deux par la présence du titre Final Collapse permettant de faire retomber la pression et de soulager les tympans, avec son intro samplée et un tempo qui ne serait pas alimenté en NOS (Nitrous Oxide Systems) contrairement au reste de l’album.
Pas besoin de décrire l’ensemble de l’album titre par titre, pour tous ceux qui aiment BORN FROM PAIN, vous savez à quoi vous attendre, on ne change pas une formule qui marche. Ils restent fidèles à eux-mêmes aussi bien dans la construction des morceaux, que le niveau de production qui rend vraiment hommage à ce mur composé de guitare/basse et batterie. Les thèmes abordés sont comme à l’accoutumé très revendicatif.
Je terminerais par ROB le nouveau chanteur pour qui la comparaison avec CHE est inévitable tellement celui-ci était à la base du groupe. Je trouve qu’il s’en sort vraiment bien pour un gars qui tenait y’a pas longtemps la basse et faisait les chœurs. En espérant qu’il gomme quelques défauts pour un prochain album.
2 ans après la sortie de WAR qui m'avait foutu une véritable baffe (ma nuque s'en souvient encore) nous voici présenté SURVIVAL avec quelques changements importants au programme. En effet, CHE le chanteur originel quitte le groupe, s'en suit quelques changements de chanteurs afin de trouver celui qui conviendrait le mieux. Finalement, les hollandais optent pour leur bassiste qui sera dorénavant le hurleur de service, celui-ci étant remplacer à la basse. Au programme des changements évoqués plus haut, l'augmentation de lignes mélodiques dans le jeu des guitares.
Attention, je vous vois venir avec vos idées façon : Ils lâchent ce qu'ils faisaient pour surfer sur une vague METALCORE. Et bien absolument pas !! BORN FROM PAIN est toujours aussi HARDCORE que cela soit dans les lignes de chant, les thèmes abordés tout au long de l'album. Le METAL a toujours une place aussi importante et l'influence THRASH de SLAYER est toujours omniprésente.
Ces changements, même s'il n'y a pas une prise de risque énorme qui pourrait rebuter de nombreux fans, a le mérite d'apporter quelque chose de différent. Il faut bien avouer que les albums catalogués HARDCORE ne sont en général pas débordant de créativité telle que peuvent le proposer des groupes plus progressifs. Au lieu d'avoir un album qui pourrait donner une impression de répétition tout au long des 11 titres, les samples disséminés ainsi que cette légère augmentation des solos et parties lead donnent un rendu très homogène et non rébarbatif.
Cela commence avec le premier titre Sounds of Survival qui rappelle à tous quel est le style adopté par les hollandais, l’intro de presque 2 minutes (pour une chanson de 4 min) prépare le terrain et l’enregistrement d’une rue piétonne pleine de vie avant une explosion nucléaire est une très belle métaphore à ce qui va suivre. Les 2 minutes restantes pouvant être considérées comme le souffle de l’explosion, riffs incisifs, rythmiques en béton armé, autant vous dire que l’idée d’avoir un premier titre comme celui là lors de l’ouverture d’un concert me provoque un sourire béat.
L’album est coupé en deux par la présence du titre Final Collapse permettant de faire retomber la pression et de soulager les tympans, avec son intro samplée et un tempo qui ne serait pas alimenté en NOS (Nitrous Oxide Systems) contrairement au reste de l’album.
Pas besoin de décrire l’ensemble de l’album titre par titre, pour tous ceux qui aiment BORN FROM PAIN, vous savez à quoi vous attendre, on ne change pas une formule qui marche. Ils restent fidèles à eux-mêmes aussi bien dans la construction des morceaux, que le niveau de production qui rend vraiment hommage à ce mur composé de guitare/basse et batterie. Les thèmes abordés sont comme à l’accoutumé très revendicatif.
Je terminerais par ROB le nouveau chanteur pour qui la comparaison avec CHE est inévitable tellement celui-ci était à la base du groupe. Je trouve qu’il s’en sort vraiment bien pour un gars qui tenait y’a pas longtemps la basse et faisait les chœurs. En espérant qu’il gomme quelques défauts pour un prochain album.